La culture au service de l'humanité, un blog de Constant Ory

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Date de création : 16.01.2012
Dernière mise à jour : 16.03.2013
12 articles


Constant ORY, l'écrivain de l'espoir





« De la nuit au jour … ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom », le premier recueil de nouvelles de Constant Ory.

L’auteur Constant Ory vient de publier un recueil de nouvelles sous la bannière d’Edilivre. Après l’anthologie des plus beaux poèmes d’Amour de la Saint Valentin «Tendresse et Passion», des Editions L’Encre Bleue, un collectif de 26 poètes francophones, sortie le Samedi 18 Février 2012, dont il fait partie, ce deuxième ouvrage vient sûrement confirmer un talent latent qui va aller en crescendo dans l’univers de la littérature ivoirienne…
La Culture Plurielle : Vous venez de signer un recueil de nouvelles De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renomchez Edilivre. Pouvez-vous nous parler un peu des thèmes abordésdans vos trois nouvelles ?
Constant Ory : D’abord, permettez que je dise un grand merci au Fondateur des Editions Edilivre, François Guilmoto ainsi qu’à toute cette belle équipe qui ne cesse de redorer l’image de cette maison d’avenir… Mon recueil de nouvelles De la nuit au jour… est effectivement composé de trois nouvelles dont De la nuit au jour… ou la Vie d’une analphabète devenue une femme de renom, Un amour rose-bleu et Une richesse sans issue. Dans la première nouvelle, je veux mettre l’accent sur le fait qu’on peut partir de rien pour devenir un homme de référence dans la sphère terrestre. Les symboles Nuit et Jour peuvent ici être interprétés comme l’obscurité et la lumière. Chacun de nous plus ou moins est passé par cette étape à l’instar d’Aya Angeline qui est partie de son état d’analphabète pour devenir une femme lettrée. La deuxième nouvelle, quant à elle, à travers l’histoire sentimentale entre Paulin et Aline nous démontre que le vrai amour existe toujours, cet amour offert par Dieu qui traverse toutes les frontières. Et enfin la troisième nouvelle, Une richesse sans issue éclaire le lecteur sur la relativité de la richesse à travers le chemin épineux emprunté par Yao !

La Culture Plurielle : Quel message voulez-vous  transmettre à vos lecteurs à partir de vos œuvres ?
Constant Ory: Mes écrits tournent toujours autour de la dualité. Je veux amener mes lecteurs à comprendre que, où il y a la vie cohabite la mort ; la haine, l’amour ; la pauvreté, la richesse ; le désespoir, l’espoir...

Y a-t-il une raison particulière qui vous a poussé à écrire sur les thèmes tels que l’espoir, l’amour et la richesse ?
Constant Ory :Je dirai oui. L’écrivain étant le témoin de son temps, se donne en cobaye pour échanger ses expériences avec ses semblables. Il est donc impératif pour moi de ne pas me taire sur certaines choses qui sont de nature à créer du flou dans l’esprit des terriens. Il y a certains qui, pour un rien, ont emprunté la voie du suicide. Je ne peux assister à cet état de fait d’une manière passive.

La Culture Plurielle : Selon vous, est-ce que tout un chacun peut accéder au monde de l’écriture ?
Constant Ory :Je pense que ça dépend de la mission de chacun de nous sur la terre. Au niveau de l’art, en effet, il y a certains qui sont prédestinés à la peinture, d’aucuns à l’écriture et d’autres à la musique. Je ne puis rester, en revanche, insensible face au talent de ces artistes qui réunissent en eux à la fois la musique, la peinture et l’écriture !

Ecrivez-vous avant tout pour votre plaisir personnel ou pour les autres ?
Constant Ory :Ecrire c’est transmettre un message à la fois aux autres et à soi. Il m’arrive souvent de remonter à mes premiers textes jusqu’à ceux du temps présent ; et ma foi, il faut dire que je découvre curieusement un pan de ce que je suis devenu, annoncé depuis des années.

La Culture Plurielle : Avant d’être auteur, vous avez d’abord été lecteur ? Pouvez-vous citer quelques noms de vos auteurs préférés ?
Constant Ory :C’est une liste non exhaustive. Pèle mêle, je citerai Marcel Pagnol, Camus, René Maran, Lamartine, Verlaine, Baudelaire, Tolstoï, Gandhi, Bernard B. Dadié, Mongo Béti, Camara Laye... Ce sont des auteurs qui ont marqué plus ou moins mon enfance, m’ayant pour la plupart influencé.

La Culture Plurielle : Un prochain ouvrage en préparation ?
J’en ai déposé quatre chez Edilivre, dont le premier vient de sortir. Il y a en attente un autre recueil de nouvelles Le vrai amour ne meurt jamais, un livre de témoignage Le guide pratique de la vie terrestre, qui ont eu l’avis favorable du Comité de lecture d’Edilivre, et un roman d’amour Prisonnier du tourbillon de l’amour qui veut aussi suivre le cheminement De la nuit au jour… Après quoi, j’essayerai de dépoussiérer tous mes premiers manuscrits qui ne demandent autre chose que leur réécriture.

Interview réalisée par

LES OEUVRES PUBLIEES DE CONSTANT ORY A EDILIVRE

 


LE CHEMIN MENANT AUX  ŒUVRES PUBLIEES ET EN ATTENTE DE PUBLICATION DE CONSTANT ORY
Pour visiter à la fois les œuvres qui mènent à mon univers poétique que romanesque, deux chemins vont vous y conduire : Les Editions L’Encre Bleue et Edilivre.
Par la magie du net, vous n’aurez pas besoin de payer des frais exorbitants de billet d’avion pour y arriver. En passant par les sites tels que www.facebook.fr, www.google.fr ou mon blog www.lacultureplurielle.blogspot.com, vous tomberez sur trois pancartes virtuelles vous annonçant leur présence. Alors, sans hésiter, découvrez-les progressivement :
I - L’ANTHOLOGIE « TENDRESSE ET PASSION»DES PLUS BEAUX POEMES D’AMOUR DE LA SAINT-VALENTIN DES EDITIONS L’ENCRE BLEUE  DECHARLES PEMONT
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RESUME DE L’OEUVRE
Les plus belles chansons du monde ont toujours eu pour coloration le mot « Amour ». Qui ne se rappelle la chanson sempiternelle « La maladie d’amour » fredonnée par tous les âges ! Et l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » ne vient que corroborer cette assertion avec ces beaux poèmes d’amour qui la composent !
Dans cette Anthologie subdivisée en deux parties Tendresse féminine et Passion masculine, vous aurez  l’opportunité de découvrir 26 auteurs francophones, 26 auteurs francophones qui vous conduiront dans les méandres paradisiaques de l’Amour, dont leur nom a cette coloration :Michelle-Marie Bodin-Bougelot, Linda Gnoka, Arielle Alby, Aminata Kané, Marjolaine Goué (Holy Dolorès), Esmeralda Poupoin, Christelle Lafont, Josiane Carole Gnoka, Valérie Moya Lobabie; Mehdi Takoust (Armée de l’Air), Josué Guébo, Tayeb Herchi, Bill Oxo, Abdou Simon Senghor, Essy Z. Ebony, Arsène Ablo, Cédric Marshall Kissy, Max Tan, Serge Blé, Aimé Comoé, Vincent Atchoumou, Judicaël Guépié, Ange N’Da Kouamé, Immac Adokan Kouadio, Nicaise N’Guessan, Constant Ory.
En avant-goût, la couverture de l’Anthologie vous plante dans ce décor d’Éden qui vous attend : La mer miroitant une belle rose étendue de tout son long sur la plage et à l’horizon un soleil pointant fièrement sa silhouette. L’horizon est le symbole du lointain, de l’intemporel, de l’inaccessible…,  Saint Valentin l’incarnation d’un homme, qui à travers ses nobles œuvres terrestres, nous a donné le vrai sens de l’Amour au-delà de l’amour  charnel…, l’amour éphémère.  Et la mer, le mystère, l’Amour orchestré par Dieu le Suprême, l’Omnipotent, l’Alpha et l’Omega !
L’œuvre commence par le poème « Donne-moi » de la poétesse française Michelle-Marie Bougelot : « Donne-moi l’émoi de l’amour /  Comme au premier jour. / La force quand mon corps m’abandonne ; / La sérénité de celui qui pardonne… »qui inaugure la partie Tendresse féminine et le poème ELLE ATTENDAIT  TELLEMENT PLUS DE TOI du poète  Mehdi Takoust dit Armée de l’Air : « Le jour va et vient / Une étoile brille et s’éteint / Tout change sous la puissance de ce moulin / Un vent s’applique sur l’engin / Un tout se déroule dès le matin... », celle de la partie masculine.
Cette œuvre monumentale, hymne à la poésie d’amour, mérite que chacune et chacun d’entre nous l’ait au chevet de son lit pour l’éternité.
Titre de l’œuvre : Tendresse et Passion, Anthologie des plus beaux poèmes d’amour de la Saint-Valentin.
Thème : Poésie sentimentale
ISBN : 2-35220-007-5.
Editions : L’Encre Bleue (EBSG), Abidjan
Editeur : Charles Pemont
Date de sortie : 18 Février  2012
Auteurs : Ouvrage collectif.

 

II - « DE LA NUIT AU JOUR … OU LA VIE D’UNE ANALPHABETE DEVENUE UNE FEMME DE RENOM » DES EDITIONS  EDILIVRE
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RESUME DE L’OEUVRE
De la nuit au jour nous donne à lire trois nouvelles racontant chacune une histoire différente. La première, De la nuit au jour, raconte l’histoire d’une analphabète devenue une grande femme lettrée à force de persévérance. La deuxième, Un amour rose-bleu, met l’accent sur l’amour véritable qui peut transformer positivement notre vie et que l’on peut rencontrer sur son chemin, et la troisième, Une richesse sans issue, nous met en garde contre le danger à vouloir devenir riche coûte que coûte.
Titre de l’œuvre : De la nuit au jour...ou la vie d’une analphabète devenue une femme de renom.
Thème : Divers
ISBN papier : 978-2332-49201-2.
ISBN numérique : 978-2-332-49202-9
Editions : Edilivre, France
Editeur-Fondateur : François Guilmoto
Date de sortie : 13 Avril 2012
Auteur : Constant Ory.
III - « LE VRAI AMOUR NE MEURT JAMAIS » DES EDITIONS  EDILIVRE
RESUME DE L’OEUVRE
Le vrai amour ne meurt jamaisest l’une des quatre nouvelles qui donne  son titre au présent recueil.
C’est l’histoire  marrante du Timide Théophile et  de la réaliste  Roselyna, deux jeunes étudiants qui allaient voir leur  solide amitié interrompue brusquement  par une lettre litigieuse écrite par le héros. Elle est  la suite de la nouvelle LA LETTRE LITIGIEUSE...  A travers cette  nouvelle, l’auteur veut mettre l’accent  sur les rebondissements du vrai amour, l’amour intemporel, celui qui traverse le temps et qui, en dépit des multiples ouragans,  finit toujours par triompher.
Quant aux nouvelles LE TAXIMANet  SUR LE CHEMINS DES IMPASSES…, elles conduisent le lecteur dans les méandres de l’amour  épineux, dramatique,   provoqué par notre insatiabilité, notre infidélité, notre ignorance des règles de la vie pratique et divine…

Titre de l’œuvre : Le vrai amour ne meurt jamais
Thème : Divers
ISBN papier : 978-2332-49201-2.
ISBN numérique : 978-2-332-49202-9
Editions : Edilivre, France
Editeur-Fondateur : François Guilmoto
Date de sortie : 4 Mai 2012
Auteur : Constant Ory.
IV – « LE GUIDE PRATIQUE DE LA VIE TERRESTRE » DES EDITIONS EDILIVRE
RESUME DE L’OEUVRE
Le guide pratique de la vie terrestre, est un livret qui met en relief la vie quotidienne de chacun de nous sur la terre. Il nous permet de savoir que notre vie terrestre n’est pas basée sur le néant et qu’un être Suprême appelé Dieu, nous guide dans tout ce que nous faisons, en dépit de nos difficultés.
Titre de l’œuvre : Le guide pratique de la vie terrestre
Thème : Essai
ISBN papier :9782332501615
ISBN numérique :9782332501622
Editions : Edilivre, France
Editeur-Fondateur : François Guilmoto
Date de sortie : 22 Mai 2012
Auteur : Constant Ory.
V – « PRISONNIER DU TOURBILLON DE L’AMOUR» DES EDITIONS EDILIVRE
RESUME DE L’OEUVRE
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Soré Yapi, célèbre professeur de médecine et grand danseur de musique cubaine, éternel célibataire, est pris dans l’engrenage de Jeanine et Marie-Géo, deux mulâtresses se ressemblant comme des sœurs jumelles. Laquelle des deux acceptera-t-elle d’être son épouse, au moment où il se trouve dans l’obligation de régulariser coûte que coûte sa situation matrimoniale au risque de perdre tous les avantages liés à son poste de professeur titulaire ?
Titre de l’œuvre : Prisonnier du tourbillon de l’amour
Thème : Sentimental
ISBN papier :9782332502315
ISBN numérique :9782332502322
Editions : Edilivre, France
Editeur-Fondateur : François Guilmoto
Date de sortie : 30 Mai 2012

Auteur : Constant Ory.

A TOUS LES AUTOMOBILISTES DU MONDE

Publié le 16/03/2013 à 08:32 par lacultureplurielle Tags : vie dieu mort travail livre cadre voiture
En respectant le code de la route, vous protégez à la fois votre vie et celle de l’autre.
Si Dieu est passé par l’homme pour inventer la voiture, c’est parce qu’il voulait par ce moyen de locomotion lui faciliter la tâche dans ses multiples déplacements. Mais en même temps qu’il lui a inspiré cela, il l’a amené à écrire un livre appelé « Le code de la route » que chaque automobiliste se doit de respecter pour éviter le pire. Car la voiture, quand bien même elle facilite nos multiples déplacements, n’en demeure pas moins ce que l’on appelle « le Cercueil roulant », source de mort prématurée.
Va-t-on toujours continuer de décrocher notre portable, même en pleine circulation, conduire en état d’ivresse, brûler le feu rouge, alors que nous n’avons pas la priorité ? Le non-respect du code de la route a endeuillé des familles entières. Si ce n’est pas le conducteur et sa famille qui sont décimées, cela peut être au détriment d’un pauvre piéton qui, ayant la priorité, traverse la route sans imaginer un seul instant qu’il pourrait être fauché mortellement la seconde à venir par un automobiliste n’ayant pas respecté la plus petite des règles du code de la route « Le feu rouge »!

Vous qui avez pour moyen de locomotion la voiture, quel que soit votre statut social, mettez-vous chaque jour dans l’esprit ceci : « En respectant le code de la route, je protège non seulement ma vie mais aussi celle de mon prochain. Je dois tout faire pour ne pas l’écourter en suivant à la lettre cette règle élémentaire de la conduite. » Comme le dit l’adage « La vie est à la fois simple et difficile ». Là où l’on croit que la liberté nous est permise, l’on creuse sans savoir sa tombe. Et surtout évitez de conduire en état d’ébriété.
Il y avait un cadre international, qui se faisait toujours conduire par un chauffeur, au cours de ses différents déplacements. Le chauffeur faisait consciencieusement son travail, recevant régulièrement des félicitations de son patron. Mais un jour, contre toute attente, alors qu’il était en état d’ivresse, il dit à son chauffeur son désir de prendre le volant. Le chauffeur, averti du danger que celui-ci pourrait encourir en agissant ainsi, essaya de l’en dissuader sans pour autant essuyer sa colère, allant jusqu’à le menacer de renvoi. Le chauffeur, sentant son métier menacé, n’alla pas au-delà… C’est ainsi que son patron prit le volant de sa voiture de commandement ; mais malheureusement, en cours de route, celle-ci fit une embardée qui se termina par plusieurs tonneaux. Et ce fut l’irréparable ! Le corps inerte de son patron fut sorti des tôles froissées de sa voiture, tandis que le chauffeur eut la vie sauve. Voilà jusqu’où peut nous conduire notre imprudence !!!

Constant Ory

STOP A L'AVORTEMENT

Publié le 16/03/2013 à 08:30 par lacultureplurielle Tags : image vie moi monde homme dieu société soi livre femme fille mort femmes enfant neige

L’avortement, tout le monde le sait, est une manière pour une jeune fille ou une femme d’ôter la vie d’un fœtus quelle qu’en  soit la manière. Dans la généralité des cas, celle qui s’adonne à ce genre de pratique s’en sort toujours avec des séquelles allant jusqu’à sa stérilité ou à sa mort. Et pourtant il est démontré par A plus B qu’un acte sexuel débouche toujours sur une grossesse ! Pourquoi alors les femmes coupables d’un tel acte n’auraient-elles pas pensé à une de ces multiples méthodes de contraception que leur a offertes la médecine moderne pour prévenir une telle chose ? Ont-elles pensé un seul instant au mal qu’elles ont fait à cet être qui aurait voulu aussi vivre comme elles ? Au combat que ce dernier a livré avec les autres spermatozoïdes pour arriver à ce stade de fœtus ? Malgré les raisons qu’elles puissent évoquer pour agir de la sorte, qu’elles sachent qu’elles ne sont pas pardonnables. Car la vie, c’est Dieu qui la donne et non l’homme. Notre mission en tant qu’hommes et femmes s’arrêtent à l’accouplement. A partir du moment où nous avions des rapports intimes, nous devons plus ou moins nous attendre à un tel résultat. Alors à chacun et à chacune d’entre nous d’assumer sa responsabilité en cas d’une situation pareille.




Concernant l’avortement, Mahatma Gandhi, le grand sage et apôtre de la non-violence, a dit dans son livre " Nous sommes tous des frères ", et je cite : «  Voici ce que m’écrit un jeune homme et dont je ne peux rendre compte qu’en substance : « Au cours de mon absence à l’étranger, un ami, qui avait ma confiance implicite et celle de mes parents, a séduit ma femme. Mon père insiste à présent pour qu’elle se fasse avorter ; autrement, dit-il, la famille serait déshonorée. Selon moi, ce serait répréhensible d’agir ainsi. La pauvre femme se consume de remords. Elle en a perdu le boire et le manger et ne cesse de pleurer. Voudriez-vous avoir l’obligeance de me dire où est mon devoir. » Ce n’est pas sans beaucoup d’hésitation que j’ai publié cette lettre. Comme chacun le sait, de telles situations ne sont nullement rares, dans notre société. Il ne me semble donc pas déplacé de débattre cette question en petit comité. Pour moi, il va de soi que l’avortement serait un crime. On ne compte plus les maris qui se rendent coupables du même écart de conduite que cette femme et pourtant personne ne les met en cause. Non seulement la société les excuse, mais elle ne les blâme même pas. Alors que rien ne permet à la femme de dissimuler sa honte, l’homme, lui, peut avec succès ne rien faire voir de son péché. » Autant dire que même si les femmes sont mises au banc des accusées dans une telle situation, nous en sommes aussi coupables.
De plus en plus, certaines femmes croient que le fait d’avoir un enfant hors mariage, minimise leur chance d’avoir un jour un mari. Ce qui les pousse à passer par ce moyen pour faire croire à l’opinion qu’elles sont blanches comme neige. Sans le savoir, elles sont ainsi en train de compromettre dangereusement leur situation de femmes célibataires, car elles ne peuvent pas s’imaginer si l’enfant qu’elles viennent de tuer sera le seul qu’elles auront durant toute leur vie. Et puisque avoir une femme ou un homme est une question de chance, qu’est-ce qu’elles feraient si un jour elles se retrouvaient dans un foyer et qu’elles n’arrivaient plus à procréer ?

Beaucoup de foyers ayant été disloqués à cause de ces raisons, les femmes doivent savoir qu’avoir un enfant hors mariage ne constitue pas un obstacle quant à l’avoir futur d’un foyer. Elles doivent donc bannir à jamais  dans leur esprit l’avortement, car non seulement il les amène à commettre un crime sur un enfant innocent, mais aussi peut entraîner leur mort ou dans le cas contraire, les rendre stériles.

Constant Ory

Ecrivain.


Source image : http://www.lecielestbleu.net

COMMENT CONTROLER LA REPRODUCTION ILLEGALE DES OEUVRES ?

Publié le 16/03/2013 à 08:20 par lacultureplurielle Tags : vie moi monde livre bonne article amis livres signature

Dans le domaine de l'art, l'écrivain est, par excellence, celui dont l'œuvre prend assez de temps pour paraître sur le marché du livre.

Se privant d'un certain nombre de choses, il s'adonne avec beaucoup de courage et de patience à son ouvrage. Certains d'entre eux prennent un an pour y arriver, tandis que d'autres, plus... Après quoi, il se trouvera confronté au monde l'édition : Faut-il éditer son œuvre à compte d'auteur ou d'éditeur ? S'il n'a pas les moyens, il se tournera bien sûr du côté de l'édition à compte d'éditeur avec la signature d'un contrat dans lequel il est spécifié qu'il doit toucher seulement 10 % sur la vente de chaque ouvrage. Prenant son mal en patience, il souhaite ardemment que cette œuvre ait suffisamment du succès afin qu'il arrive à s'affirmer.

Les éditeurs, pour pallier à d'autres difficultés qui peuvent rivaliser avec la bonne marche de l'ouvrage, prennent soin  d'écrire à l'intérieur cette phrase sempiternelle : "Toute traduction, reproduction ou adaptation de cet ouvrage, par quelque procédé que ce soit, est interdit sans l'autorisation de l'éditeur, sous peine de poursuite judiciaire".
Outrepassant cela, méprisant la vie de bohème de l'écrivain, les faussaires de l'art mettent leur batterie impitoyable en marche, en reproduisant à grande échelle toutes les œuvres des auteurs célèbres ou non.

C'est par le canal de mes amis bouquinistes que je suis tombé sur le spécimen d'une œuvre photocopiée. Je n'avais jamais imaginé une chose pareille, si je n'en avais pas été moi-même témoin oculaire.

Mon étonnement et ma désapprobation furent tels, que j'ai décidé d'écrire cet article afin de porter une telle information aux yeux des maisons s'occupant de la protection des œuvres de l'esprit et savoir davantage sur leur stratégie de lutte contre ce genre de pratiques qui, à la longue, risque de porter atteinte à tout ce qui touche au monde des livres.

Il faut dès maintenant sévir à ce niveau avant qu'il ne soit trop tard.

Mais comment s'y prendre ? Telle est la question posée.

Constant Ory,
Ecrivain

Un extrait de la Préface de René Maran

Publié le 16/03/2013 à 08:20 par lacultureplurielle

Lecteurs et lectrices, aujourd'hui vais-je laisser la place à mon maître, mon auteur de chevet René Maran de vous montrer la profondeur de son talent rien qu'à partir de  quelques extraits de sa brillante préface inaugurant Batouala! 

 

Goncourt oubliés 4 : René Maran, 1921 "  Honneur du pays qui m'a tout donné, mes frères de France, écrivains de tous les partis ; vous qui, souvent, disputez d'un rien, et vous déchirez à plaisir, et vous réconciliez tout à coup, chaque fois qu'il s'agit de combattre pour une idée juste et noble, je vous appelle au secours, car j'ai foi en votre générosité. Mon livre n'est pas de polémique. Il vient, par hasard, à son heure. La question « nègre » est actuelle. Mais qui a voulu qu'il en fût ainsi ? Mais les Américains. Mais les campagnes des journaux d'outre-Rhin. [...]
Mes frères en esprit, écrivains de France [...]. Que votre voix s'élève ! Il faut que vous aidiez ceux qui disent les choses telles qu'elles sont, non pas telles qu'on voudrait qu'elles fussent. Et plus tard, lorsqu'on aura nettoyé les suburres coloniales, je vous peindrai quelques-uns de ces types que j'ai déjà croqués, mais que je conserve, un temps encore, en mes cahiers. Je vous dirai qu'en certaines régions, de malheureux nègres ont été obligés de vendre leurs femmes à un prix variant de vingt-cinq à soixante-quinze francs pièce pour payer leur impôt de capitation. Je vous dirai... Mais, alors, je parlerai en mon nom et non pas au nom d'un autre ; ce seront mes idées que j'exposerai et non pas celles d'un autre. Et, d'avance, des Européens que je viserai, je les sais si lâches que je suis sûr que pas un n'osera me donner le plus léger démenti. Car, la large vie coloniale, si l'on pouvait savoir de quelle quotidienne bassesse elle est faite, on en parlerait moins, on n'en parlerait plus. Elle avilit peu à peu. Rares sont, même parmi les fonctionnaires, les coloniaux qui cultivent leur esprit. Ils n'ont pas la force de résister à l'ambiance. On s'habitue à l'alcool. Avant la guerre, nombreux étaient les Européens capables d'assécher à eux seuls plus de quinze litres de pernod, en l'espace de trente jours. Depuis, hélas ! j'en ai connu un qui a battu tous les records. Quatre-vingts bouteilles de whisky de traite, voilà ce qu'il a pu boire en un mois.
Ces excès et d'autres, ignobles, conduisent ceux qui y excellent à la veulerie la plus abjecte. Cette abjection ne peut qu'inquiéter de la part de ceux qui ont charge de représenter la France. Ce sont eux qui assument la responsabilité des maux dont souffrent, à l'heure actuelle, certaines parties du pays des noirs. C'est que, pour avancer en grade, il fallait qu'ils n'eussent « pas d'histoires ». Hantés de cette idée, ils ont abdiqué toute fierté, ils ont hésité, temporisé, menti et délayé leurs mensonges. Ils n'ont pas voulu voir. Ils n'ont rien voulu entendre. Ils n'ont pas eu le courage de parler. Et à leur anémie intellectuelle l'asthénie morale s'ajoutant, sans un remords, ils ont trompé leur pays.
C'est à redresser tout ce que l'administration désigne sous l'euphémisme d'« errements » que je vous convie. La lutte sera serrée. Vous allez affronter des négriers."


Tiré de Batouala, le véritable roman nègre de René Maran, prix Goncourt de littérature en 1921.

Consultez mes nouveaux livres sur www.thebookedition.com

Publié le 16/03/2013 à 08:09 par lacultureplurielle Tags : vie dieu société roman livre voyage voiture
Couverture de "L'interprétation des inventions"

 

RESUME

 

 

A travers l’œuvre De l’Interprétation des inventions, l’auteur Constant A. Ory veut nous faire comprendre que les inventions telles que l’avion, la voiture, le microscope, le cellulaire ne sont qu’un prétexte à interprétation…

En montant dans l’avion, la voiture, le train, l’homme doit comprendre qu’au-delà des caractéristiques de toutes ces merveilles, Dieu veut nous communiquer seulement des messages.

Lire cette œuvre c’est faire en quelque sorte un voyage initiatique dans l’univers des inventions dont les inventeurs ne sont que des intermédiaires entre Dieu et les hommes…

 

 

 

 

 

Couverture de "De la guerre à la réconciliation"

 

RESUME

 

"De la guerre à la réconciliation..." est un livre qui essaie de faire une multitude de propositions à l'ensemble des politiciens ivoiriens et à la population dans son entièreté, après la guerre postélectorale. Comment éviter de retomber dans les mêmes erreurs qui ont conduit le pays à cette bestialité ? Chaque acteur ivoirien, quelle que soit son idéologie politique, doit absolument prendre connaissance de son contenu.

Constant A. Ory qui est auteur de plusieurs œuvres parues à Edilivre, dont "Prisonnier du tourbillon de l'amour" est son premier roman, en faisant ainsi une incursion dans le domaine politique, veut apporter sa pierre à l'édifice national.

 

 

 

 

Couverture de "Chimères de nos illusions"

 

RESUME

 

 

Chimères de nos illusions est un recueil de prose-poétique qui raconte l’histoire paradoxale d’un juge du nom d’Oba Hubert qui a préféré sacrifier sa carrière de juriste pour celle de poète. Et qui, un jour, devant les incompréhensions des uns et des autres, a opté pour le suicide afin de marquer son indignation contre toutes ces tares de la société moderne...

Le lecteur y découvrira à la fois les différentes péripéties de la vie d'Oba dans la partie "Chimères de nos illusions" et les différents poèmes qu'il a laissés à l'humanité dans celle de "Les poèmes d'Oba".

 

AU RENDEZ DE LA LITTERATURE (2)

Publié le 01/03/2012 à 21:08 par lacultureplurielle Tags : vie homme monde nuit soi dieu image blog amour belle moi société centerblog rose mer ange afrique pensées tendresse sexe poème poésie

AU RENDEZ-VOUS DE LA LITTERATURE…

TABLE RONDE AUTOUR DE L’ANTHOLOGIE « TENDRESSE ET PASSION » DES PLUS BEAUX POEMES D’AMOUR DE LA SAINT VALENTIN DES EDITIONS ENCRE BLEUE DE CHARLES PEMONT

Les plus belles chansons du monde ont toujours eu pour coloration le mot « Amour ». Qui ne se rappelle la chanson sempiternelle « La maladie d’amour » fredonnée par tous les âges ! Et l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » ne vient que corroborer cette assertion avec ces beaux poèmes d’amour qui la composent ?

Dans cette Anthologie, vous aurez l’opportunité de découvrir 26 auteurs francophones, 26 auteurs francophones qui vous conduiront dans les méandres paradisiaques de l’Amour. La Culture Plurielle qui est un blog qui s’intéresse à la chose littéraire, a bien voulu à travers cette table ronde sur cette œuvre incommensurable, magnifier l’Amour dans toute son essence. En avant-goût, la couverture de l’Anthologie vous plante dans ce décor d’Éden qui vous attend : La mer miroitant une belle rose étendue de tout son long sur la plage et à l’horizon un soleil pointant fièrement sa silhouette. L’horizon est le symbole du lointain, de l’intemporel, de l’inaccessible…, Saint Valentin l’incarnation d’un homme, qui à travers ses nobles œuvres terrestres, nous a donné le vrai sens de l’Amour au-delà de l’amour charnel…, l’amour éphémère. Et la mer, le mystère, l’Amour orchestré par Dieu le Suprême, l’Omnipotent, l’Alpha et l’Omega !

L’œuvre commence par le poème « Donne-moi » de la poétesse française Michelle-Marie Borgelot : « Donne-moi l’émoi de l’amour / Comme au premier jour. / La force quand mon corps m’abandonne ; / La sérénité de celui qui pardonne… », que lit Gazé Clovis d’une voix langoureuse, respectant toutes les articulations, sous des pluies d’applaudissements !

Autour de la table ronde nous avons Gazé Clovis, le poète aux mille guitares, homme de Droit, auteur de « LE NOBLE DANS LE BLEME ET LA CLOCHE DE L’UNITE », Leto Drigbé, Gestionnaire Administratif, amoureux de la poésie, Constant Ory, Comptable de formation, tombé sous les armes inoffensives de la poésie, haïssant depuis les chiffres, Auteur du recueil de poèmes « UN SOLEIL DANS TES LARMES… », faisant partie des 26 auteurs de l’anthologie « TENDRESSE ET PASSION », Kouakou N’indri, Instituteur, auteur du Syllabaire « APPRENONS A LIRE EN AFRIQUE ».

La culture plurielle : Pour vous qu’est-ce que l’amour ?

Gaze Clovis: L’amour anoblit les rapports humains. L’amour enjolive. L’amour rapproche. L’amour épanouit. L’amour est une sève nourricière de la cohabitation humaine comme le sang l’est pour l’organisme. Là où s’assemblent deux ou plusieurs personnes l’amour doit y régner pour l’harmonie de la société. Les difficultés existentielles sont aplanies grâce à l’amour. L’amour concourt à l’épanouissement humain.

Leto Drigbé: L’amour est un sentiment qui pousse un être humain à avoir de bonnes pensées pour son prochain. Ce sentiment nous amène au pardon, à l’acceptation de l’autre.

Constant Ory: L’Amour vrai est un tout. Enlevez une lettre au mot Amour et vous verrez ce que ça donne comme résultat. Aimer est quelque chose d’inexplicable qui n’a aucun lien avec la raison. Il se vit, c’est la rencontre avec Dieu à travers un être de sexe opposé, l’oubli de soi pour l’autre et vice-versa, la plus grande alliance dans notre vie terrestre.

Kouakou N’indri: L’amour, c’est l’affection qu’une personne a pour son prochain.

La culture plurielle : Dans l’anthologie « Tendresse et Passion », quel est le poème qui vous a le plus marqué ? Lisez-nous quelques vers.

Gazé Clovis: En poésie, il n’y a pas de préférence. Tous les poèmes contenus dans l’Anthologie TENDRESSE ET PASSION sont d’égale beauté. Ils ont été pensés par leurs auteurs. Ils y ont mis ce qu’ils ont en leur mémoire de plus clair, de plus lucide mais aussi de plus vague. Ce qui est à retenir est que chaque poème a ses caractéristiques. Le lecteur trouvera son goût dans les textes poétiques présentés par l’ouvrage. Les auteurs doivent être remerciés autant que l’éditeur. Le choix est donc difficile parce qu’en portant un choix sur un tel ou un tel poème, je pense que c’est dénier ou blâmer certains auteurs qui se sont donné la peine à les concevoir, à les créer, à les enfanter.

Leto Drigbé: Dans l’anthologie le poème qui m’a le plus marqué c’est celui intitulé « VENUS », dont je lis ces extraits : « Vénus, je suivrai tes sillons / Quand j’entendrai chanter le grillon. / Au rythme de tes pas lents / Je te grincerai mon talent…».

Constant Ory: Tous les poèmes de l’anthologie sont beaux. Alors que faire, je vais ouvrir les pages au hasard et lire quelques vers. Je tombe sur le poème « MON AMOUR …INTERDIT » de la poétesse Esmeralda Poupoin : « Dans le silence de la nuit, / Je pense à toi…/ Jamais je ne pourrai oublier tes yeux dans les miens / Jamais je ne pourrai oublier tes mots d’amoureux, / Qui ont métamorphosé mon lointain regard triste dans ce noir où j’étais… »

Kouakou N’indri : Le poème Didadi de Constant Ory est celui qui m’a le plus marqué à travers ces vers expressifs : « Tes ampoules d’une luminosité dévorante / J’ai tenu longtemps ton image dans ma main / Et compris / Pourquoi ton corps en se trémoussant / Faisait / Dida / Dadi / Didi / Dans la nuit obscure ».

La table ronde poétique s’est terminée par quelques poèmes lus par les uns et les autres. Les sons d’une guitare lointains semblaient accompagner ces amoureux fous de la poésie. Puissent les poèmes de l’Anthologie « TENDRESSE ET PASSION » à travers les poétesses et poètes tels que : Michelle-Marie Bodin-Bougelot, Linda Gnoka, Arielle Alby, Aminata Kané, Marjolaine Goué (Holy Dolorès), Esmeralda Poupoin, Christelle Lafont, Josiane Carole Gnoka, Valérie Moya Lobabie, Mehdi Takoust (Armée de l’Air), Josué Guébo, Tayeb Herchi, Bill Oxo, Abdou Simon Senghor, Essy Z. Ebony, Arsène Ablo, Cédric Marshall Kissy, Max Tan, Serge Blé, Aimé Comoé, Vincent Atchoumou, Judicaël Guépié, Ange N’Da Kouamé, Immac Adokan Kouadio, Nicaise N’Guessan, Constant Ory, guider tous les amoureux de la planète terre à ne voir qu’une seule image, l’image de leur amour, affrontant les plus grandes tempêtes, les plus grands ouragans pour monter sur les hauteurs de VENUS, la planète de l’Amour !

Table ronde organisée par le blog : www.lacultureplurielle.centerblog.net pour le compte de FACEBOOK.

Gaze Clovis, un poète multidimensionnel

Publié le 26/02/2012 à 17:51 par lacultureplurielle
Ecrire est un exercice qui demande une certaine aptitude. Pendant que certains écrivent une ou deux œuvres, d’autres en font des montagnes. Dans mes pérégrinations littéraires, pendant que je cherchais de quoi acheter chez les bouquinistes, mon chemin croisa celui de Gaze Clovis, ce passionné de littérature, tout précisément de Baudelaire qui est son maître. A l’écouter parler, vous ne pouvez rester insensible à l’immensité de son talent. Alors sur-le-champ je me suis transformé en interviewer afin de mettre sur le net via FACEBOOK et mon blog www.lacultureplurielle.centerblog.net, la vie de cet auteur hors du commun, qui nous parle de sa passion et bien sûr de ce chef d’œuvre du siècle qui est l’anthologie des plus beaux poèmes de la Saint-Valentin parue aux Editions Encre Bleue de Charles Pemont, Editeur, garçon au grand cœur qui s’est appesanti sur le sort de nouveaux talents du monde en général et de la Côte d’Ivoire en particulier. La culture plurielle : Peut-on savoir à quel moment t’est venue l’envie d’écrire ? Gaze Clovis : Depuis le cycle primaire, j’avais émis le vœu d’écrire. J’ai donc joué le rôle de journaliste de la 6ème à la troisième dans mon village, à Grogbalédou s/p de Fresco. Mais j’ai écrit mon premier manuscrit de roman en 1984. Il était intitulé LES MYSTERES DE LA VIE ; déposé en 1986 aux éditions CEDA mais qui n’a pu malheureusement être publié par ladite maison. Ensuite, j’ai écrit mon premier poème intitulé LES PLEURS D’UN HANDICAPE publié par Fraternité Matin, l’unique quotidien d’alors. La culture plurielle : Quel est ton genre littéraire préféré. Gaze Clovis : Mon genre littéraire, c’est la poésie mais je m’essais à toutes les œuvres littéraires (Roman, poésie, essai littéraire et les nouvelles. La culture plurielle : As-tu un auteur préféré qui a influencé plus ou moins ton style ? Gaze Clovis : En général les poètes classiques plus particulièrement : Victor Hugo, Jean de La Fontaine, Alfred de Musset, Baudelaire… La culture plurielle : A travers l’écriture, quel type de lectorat veux-tu atteindre ? Gaze Clovis : Tous ceux qui s’intéressent à la lecture. La culture plurielle : Nous avons l’impression, en parcourant l’ensemble de tes œuvres, que tu es un passionné de la poésie classique. N’aimerais-tu pas un jour t’essayer à l’écriture N’Zassa ? C’est-à-dire le genre sans genre ? Gaze Clovis : La poésie est un don de Dieu. Lorsqu’il mettra la poésie N’zassa sur mon chemin, je n’hésiterai pas. Pour l’instant c’est la poésie classique qui occupe mon âme, ma mémoire. La culture plurielle : Tu viens de parcourir l’anthologie "Tendresse et Passion" des plus beaux poèmes d’amour de la Saint-Valentin de la maison d’Editions Encre.Bleue dirigée par Charles Pemont. Quelle est ta première impression ? Gaze Clovis : C’est une joie pour moi de savoir qu’il y a des jeunes ivoiriens et ivoiriennes qui s’intéressent à la chose poétique. Ce premier livre motive tous ceux qui ont réalisé des manuscrits qu’ils gardent dans le secret de leur tiroir par manque d’éditeur. Je salue cette initiative et encourage l’éditeur. Que Dieu guide ses pas et l’inspire davantage afin de faire émerger ses frères et sœurs qui aspirent à être des auteurs un jour. Ne dit-on pas que chacun danse au rythme des tambours de son temps. La culture plurielle : Nous n’allons quand même pas clore cette interview sans que tu n’adresses un poème aux lecteurs de FACEBOOK ? Gaze Clovis :Bien sûr. SI TU SAVAIS…. Si tu savais avec quoi rimait ma douleur, Sur mon minuscule cœur angoissé et déchiré. Tu répandrais, ma chérie, ta tendre douceur Sans jamais, sur moi, les sombres regards, attirer. Perché sur les longues ailes du vicieux temps Qui s’enfuit et jette l’humanité dans les ravins Dans tes yeux, je vois germer un monde palpitant. Un monde nous dévoilant les coulisses de notre destin. Alors bonifiés par les immenses et divins cieux, Nous nous pâmerons dans un beau jardin de fleurs. A l’abri des plaisirs mondains et des désirs odieux, Triompheront à jamais nos nobles âmes et nos cœurs. Entends-tu les mélodies des sonores tambours ? Ce sont celles de notre héroïque victoire. Dans l’écho millénaire de notre bravoure, Se meurent nos peines et nos sempiternels déboires.. 01-03-2009 Gaze Louho Clovis La culture plurielle : Pour ceux et celles qui veulent te joindre, peux-tu leur communiquer ton contact ? Gaze Clovis : Je salue tous les amis du FACEBOOK que je rejoins par la magie de la technique. Mon contact est le suivant : 45449238 Gmail : gazelouhoclovis@gmail.com. E-mail :clovisgazelohuho@yahoo.fr

Pensée du jour

Publié le 20/01/2012 à 21:40 par lacultureplurielle Tags : argent

"Vivre en dessous de ses moyens, c'est la meilleure manière d'être riche et d'éviter les ennuis d'argent". Qu'en pensez-vous ? J'attends vos réponses.

Constant Ory.